Un extrait de je ne chasse pas sur mon territoire dans Des femmes violentes, un podcast à soi de Charlotte Bienaimé pour Arte Radio

« Parce que personne n’est à l’abri d’être privé de liberté, et que le système punitif et sécuritaire tend à se diffuser au sein de la société, Un podcast à soi revient avec une mini-série consacrée à la violence, à la colère, à l’articulation entre le genre et la prison. Qu’elles soient prisonnières, proches de prisonniers […]

je ne chasse pas sur mon territoire dans la sélection Émancipation(s) d’Anne-Lise Remacle pour le Pilen

« Le troisième, enfin,  est ultra-contemporain puisqu’il vient de sortir aux éditions Élements de langage. Je ne chasse pas sur mon territoire d’Astrid Chaffringeon est un texte prenant, électrisant et nécessaire. Depuis Cueillir ses rires comme des bourgeons en 2017, on connaît non seulement le goût de l’autrice pour les titres aussi beaux qu’énigmatiques mais aussi pour les personnages féminins puzzles et […]

Nicolas de Mar-Vivo présente les éditions éléments de langage qui publient je ne chasse pas sur mon territoire

Merci Nicolas pour la mention à je ne chasse pas sur mon territoire: « Tout l’intérêt de la structure du livre retourne sur le fait que c ‘est une confession, où elle (la narratrice) revient sur son histoire et son rapport aux hommes, (…) le propos est militant mais le traitement est purement littéraire et la […]

Nicolas de Mar Vivo lit je ne chasse pas sur mon territoire sur une création musicale d’Emil Sana

Après ces trois années de confinement entre l’arrière-boutique de la savonnerie et la maison où je ne pouvais pas laisser Lupus seul trop longtemps, je rêvais de travailler au soleil, à l’ombre des nuages qui cachaient le soleil, sous la pluie avant le retour du soleil. Et vu l’ambiance qui régnait, j’ai préféré démissionner. C’est […]

Christine Guinard lit je ne chasse pas sur mon territoire

Vous saviez qu’à sa formation, à l’âge glaciaire, la Finlande était une île ? Je l’ignorais jusqu’à le lire sur une brochure touristique en attendant mon avion pour Bruxelles à l’aéroport d’Helsinki. Cela m’a interpellé, bien sûr, de laisser derrière moi une île, et pas n’importe laquelle, une matrice, une déesse, mère de plus de dix […]

Simon Lambrey lit je ne chasse pas sur mon territoire

Vivre dans un atelier, ça fait trembler ton mystère. Pour ceux qui vivent au chaud dans leur studio je veux dire. Je n’avais même pas encore de galerie que déjà je pouvais revendiquer un statut d’artiste grâce à cet espace improbable, à mi-chemin entre la loge de concierge désaffectée et la serre de jardin car, […]

Magdalena Lamri lit je ne chasse pas sur mon territoire

Ce goût de cendres dans la bouche… Ce goût de cendres dans la bouche, vous le sentez ? Comme lorsque la forêt s’est entièrement consumée, et qu’il ne reste plus que quelques braises, ici et là, disséminées dans un hasard sauvage qui heurte notre vision hiérarchique des lois du monde, notre goût pour l’emboîtement des structures… […]

Dîner Littéraire Virtuel à la Maison de la Francité de Bruxelles.

Le jeudi 17 décembre 2020 à 20h, la Maison de la Francité accueillera les autrices Ana Anayoglou et Astrid Chaffringeon et livrera aux participants les petits plats préparés par Christophe Lagadec. Si vous n’avez pas pu vous inscrire au diner littéraire du 17 décembre 2020, animé par Nicolas BOGAERTS, vous pouvez découvrir les jolis échanges […]

Le Courrier Recommandé: je ne chasse pas sur mon territoire vu par David Courier.

« Pendant longtemps -j’ai passé une enfance aux quatre coins du monde- j’ai cru que je n’étais chez moi nulle part parce que j’étais toujours en exil ou ailleurs mais j’ai compris ces derniers temps que si je me sens toujours ailleurs et en exil c’est parce que je ne suis pas sur mon territoire, que ce territoire que nous devrions tous partager, hommes et femmes, a été dessiné par les hommes et pour les hommes et les femmes ne s’y retrouvent pas. « 

Barbara Polla lit je ne chasse pas sur mon territoire

Après la fin d’une série et de l’exposition qui suit, il y a toujours cette phase où je joue avec le vide, je l’ausculte, je le désire tout autant que je le crains, je le stimule pour qu’il m’amène plus loin, ailleurs.
J’attends qu’il me parle.
Il naît de ce vide une certaine paresse, une forme d’oisiveté qui peut mener à tous les vices.

Manuela Morgaine, artiste, cinéaste, écrivain lit je ne chasse pas sur mon territoire

Je suis née là où on ne m’attendait pas.
Je ne dis pas que je n’étais pas attendue, mais que rien ne s’est passé comme prévu.

C’est parce qu’il y a chez nous de terribles tourbières.

Et que ma mère avait coutume de se promener librement.

C’est important que tu le saches. Tu dois savoir d’où tu viens. Tu ne dois par rougir.
Je n’aurai pas le temps de te parler de sa liberté. De la liberté.
Tu décideras seul si tu dois en être l’esclave ou le maître.
Comme tu es un homme, tu n’auras pas à justifier ton choix.
C’est déjà ça.

Claire Cecchini lit un extrait de je ne chasse pas sur mon territoire.

J’ai vu une mouche se poser sur la soucoupe de sa tasse de thé, comme pour me narguer, et je n’ai plus pensé qu’à ça, à la mouche, à ma capacité ou non de l’attraper. J’ai attendu qu’elle s’assoupisse un peu, qu’elle baisse la garde, qu’elle se concentre sur l’exploration de la soucoupe tachée. Ma main a plongé subitement, renversant sur son passage la tasse et le thé sur le sol. Surprise, ma belle-sœur a crié en même temps que moi. J’exultais, ne me résolvais pas à ouvrir ma main de peur que ma proie s’envole, cherchais stratégiquement comment l’écraser entre mes deux paumes sans qu’elle profite d’une faille pour s’échapper. À un moment, j’ai senti entre mes doigts son corps croustiller.

Blanc comme l’Albât[t]re…dit Claire Cecchini, éditrice, autrice et libraire à propos de je ne chasse pas sur mon territoire

« Dans cette galerie nomade, l’autrice pulvérise les codes de chacun des genres de voyage pour distiller l’intrigue haletante tout en dessinant avec force les contours de cette femme-sisu[1] et nous insuffler le courage de consentir à la liberté. »

Le carnet et les instants pose des mots sur je ne chasse pas sur mon territoire

« Ce roman, sombre et lumineux, désespéré et drôle, a quelque chose de minéral et d’organique. La langue est tout à la fois pure et crue. L’auteure nous offre de belles descriptions, quasi picturales. Tout comme son précédent texte, Chambre avec vue, ce troisième roman d’Astrid Chaffringeon est publié aux éditions Éléments de langage, comptoir éditorial indépendant spécialisé dans les OLNI (objets littéraires non identifiés) »

je ne chasse pas sur mon territoire en librairie dès le 16 octobre

Ce  roman a été  achevé  en juin 2019. C’est important de le dire parce qu’à ce  moment, nous étions loin de savoir collectivement ce que voulait dire confinement et la  narratrice écrit d’une prison. À ce moment, je concevais intellectuellement la façon dont la peur et la  violence peuvent s’alimenter, mais  je ne l’avais pas […]