Après la fin d’une série et de l’exposition qui suit, il y a toujours cette phase où je joue avec le vide, je l’ausculte, je le désire tout autant que je le crains, je le stimule pour qu’il m’amène plus loin, ailleurs.
J’attends qu’il me parle.
Il naît de ce vide une certaine paresse, une forme d’oisiveté qui peut mener à tous les vices.